Voir aussi :
Capsule produite par les Bibliothèques du réseau de l'Université du Québec.
Attention aux fraudeurs! Certaines maisons d'édition opportunistes exploitent les chercheurs en exigeant des frais de publication sans prodiguer les services attendus en retour. Ces éditeurs prédateurs prétendent publier des revues en accès libre de manière légitime, alors que leurs pratiques d'évaluation par les pairs sont douteuses et le contrôle de la qualité inadéquat. Voici plusieurs outils pour les dépister:
Méfiez-vous également des conférences scientifiques trompeuses!
On vous invite par courriel à publier dans une revue soi-disant savante, avec un processus de révision ultrarapide? Méfiez-vous, c'est sans doute trop beau pour être vrai... Et la facture n'est pas le seul prix élevé à payer: votre réputation sera également entachée si vous publiez dans une revue prédatrice.
Soyez également à l'affût si on vous propose de joindre un comité éditorial, ou si on vous invite à présenter à un congrès qui pourrait s'avérer décevant pour sa qualité.
Consultez votre bibliothécaire disciplinaire en cas de doute!
Ne mordez pas à l'hameçon (Université du Québec, licence CC BY-NC-SA 4.0)